Voici les derniers arrivages dans notre bibliothèque :
FÉVRIER 2024
Comité flamand de France – n°131 – Février 2024
|
|
Bulletin du Cercle royal archéologique d’Enghien – n°107 – Février 2024
|
|
Boulevard des Belges ou de la Flandre à la Normandie – Isabelle KAANEN-VANDENBULCKE Parmi les nombreux exemples d’émigration, il en est une, proche de nous dans le temps et l’espace et pourtant peu connue. Les mots « Boulevards des Belges » qui se lisent encore sur les murs de centaines de villes françaises l’évoquent. Avec la guerre 14-18, des milliers de Belges s’implantent en France, notamment en Normandie. La vague en appelle une autre et la communauté belge représente bientôt le principal groupe d’étrangers dans la province normande. Aujourd’hui, leurs descendants sont français. Seul le nom de famille trahit encore l’origine. Le document est une page d’histoire, celle des liens séculaires entre la Belgique et la Normandie et le témoignage d’une symbiose de deux cultures. Il donne matière à réflexion sur notre monde d’aujourd’hui, du processus de l’émigration jusqu’à l’assimilation au peuple d’accueil. |
|
Nord Généalogie – n°272 – 2023/4
|
|
De Leiegouw (Courtrai) – n°65/2 – 2023
|
|
Carnaval de Bailleul – Volume 1 par Marc GENGEMBRE & Régis SENECHAL
|
|
Les rues de Bailleul. Histoire des quartiers et des rues de la ville. Vivre dans une ville, c’est connaître et apprécier ce qui fait d’elle une ville, à savoir d’abord et avant tout ses rues. Le Cercle a choisi de vous faire découvrir, dans ce premier tome, « Les Rues de Bailleul », leur histoire, leur évolution au fil du temps ainsi que les événements publics, privés, inattendus, insolites ou traditionnels qui les ont marquées. De nombreux documents inédits, des anecdotes illustrent ce hors-série, que ce soit sur la rue ou sur le personnage éponyme. À partir de plans et de dessins, la ville s’agrandit sous vos yeux. Les rues naissent, les maisons puis les commerces et les monuments s’y installent, des événements s’y produisent du plus intrigant, un magicien, au plus spectaculaire la venue de cascadeurs. La ville attire les manifestations, la venue d’un roi, une procession en l’honneur d’une madone, d’un congrès eucharistique, d’une libération, et là toute la ville est en liesse, les rues sont pavoisées des plus belles couleurs. Elle subit des moments douloureux également qui font que la ville entière pleure ou se recueille comme la mort d’un agent de police ou d’un pompier. Puis l’on retrouve les petites choses qui ont marqué la population, les Bêtises bailleuloises, les surprises de Bib ou celles qui l’ont fait danser comme au café Béguin. Les nouvelles constructions ne sont pas oubliées, des quartiers se mettent en place avec leur comité et déjà leur fête. S’ils n’ont pas encore leur devise comme celle de la rue des Foulons et du Kortenker « Bien faire et laisser dire » ils promettent à la ville et à ses rues des réjouissances renouvelées pour le plus grand plaisir des Bailleulois. |
|
Les tableaux fantômes de Bailleul Œuvres disparues du Legs de Henri-Louis Hans Mars 1918, les obus anglais pleuvent sur Bailleul. La ville située à l’arrière du front d’Ypres, tout juste prise par les Allemands, est anéantie. Parmi les gravats, ceux du musée Benoit De Puydt : 80% des collections sont perdues, détruites ou dispersées. Dès 1919, dans la ville en reconstruction, le musée reconstitue lentement ses collections. |
|
Bailleul ville reconstruite 1919 1934 Le 1er septembre 1918, un dernier obus achève de transformer Bailleul en champ de ruines. Entre 1919 et 1934, une équipe d’architectes, réunie autour de Louis-Marie Cordonnier, œuvre pour la reconstruction de la ville. Plus flamande qu’avant-guerre, Bailleul prend Bruges pour référence et les époques Gothique et Renaissance comme sources d’inspiration. Deux circuits vous invitent à la découverte du patrimoine architecturale de cette reconstruction, l’une des plus homogènes et des plus remarquables du Nord de la France. |
|
1918 Bailleul 90 ans après… - Hommage et souvenirs Ce livre, outre deux trois articles sur les monuments commémoratifs de Bailleul, contient des témoignages d’habitants sur les événements de 1918 et postérieurs. |
|
Le Présidial de Flandre – Cercle d’histoire et d’archéologie de Bailleul
|
|
Pharaon de Winter (1849-1924). Histoires de l’âme flamande Né à Bailleul en 1849 d'un sabotier belge, Pharaon (erreur administrative pour Faron !) impressionnera par ses dons, ce qui lui ouvrira l'école de dessin locale, puis l'atelier du peintre brugeois Henri-Julien de Stoop et l'académie de Bruges. Sa première œuvre (1864) est un autoportrait. Revenu à Bailleul, Pharaon accumule les prix. Grâce à une bourse de la Fondation De Puydt, il accède aux Écoles Académiques de Lille, où Alphonse Colas lui enseigne la peinture, donnant à son art une solide base française qui toutefois ne le détachera pas de la tradition flamande. |
|
Une maison de collectionneur – Het huis van een kunstverzamelaar. Musée Benoît-de-Puydt Collectionneur passionné, Benoît de Puydt a fait l’inestimable cadeau d’offrir à sa ville natale, Bailleul, une somme d’œuvres aujourd’hui rassemblées dans le musée qui porte son nom. Ce musée fait la fierté de Bailleul ; la ville dispose là d’un lieu culturel de première importance qui participe à son rayonnement au-delà même de la Flandre. À cette collection initiale se sont ajoutés, au fil des siècles, les apports des autres donateurs, enrichissant chaque fois davantage le fonds du musée. |
|
Bailleul au fil de l’histoire. Une histoire de la ville en son environnement Aujourd’hui vous retrouverez l’occupation du territoire de Bailleul depuis les temps de la préhistoire, suivi d’une période que nous remarquons riche en documents sortis de terre que fut la présence de nos ancêtres belges et gallo-romains, puis la naissance de la ville même, Bailleul avec sa place, son architecture, son beffroi symbole de son indépendance !! Ensuite vous suivrez au fil des pages son histoire, ses moments forts, ville médiévale de renom, mais aussi ses moments de désolation liés en grande partie à ses destructions par le feu accidentel ou de guerre. Une ville n’est pas une ville sans son industrie et son artisanat et Bailleul fut renommée pour ces deux éléments souvent portés par un homme ou portés par le désir d’être une ville attirante pour les hommes de la région tout en restant une ville à la campagne où il fait bon vivre. La période moderne qui suit la Révolution française jusqu’à nos jours donnera une autre image de cette ville médiévale ouverte sur le monde et l’Europe mais soucieuse du bien-être de ses citoyens. |
|
De Roede van Tielt – n°55/1 – Janvier, février et mars 2024
|
|
Wervik-Geluwe 1914-1918 – Cahier 2019
|
|
Le Parchemin – n° 468bis – Novembre et décembre 2023
|
|
Le Parchemin – n° 469 – Janvier et février 2024
|
|